Vigneron bio avant l’heure, la difficulté du changement

Par Soldat Petit Pois

Photo de Mirko Fabian sur Pexels.com

Vous l’avez sans doute constaté après avoir écouté plusieurs épisodes d’Oïkos, le podcast écolo de Motus, que je tiens : les personnes que j’interview, c’est souvent toujours un peu les mêmes. Elles viennent de milieu urbain, comme moi, sont jeunes, blanches pour la plupart. Même si j’essaye au maximum d’élargir les discussions, car c’est absolument nécessaire, on se retrouve souvent sans le vouloir en vase clos avec celles et ceux qui nous ressemblent. Et même en faisant de mon mieux, je n’arrive pas toujours à agrandir le cercle de réflexion, car mon travail est encore plein d’imperfections. Je vous en parlais d’ailleurs à la fin de la saison 2 d’Oïkos. 

Aujourd’hui, je vous propose donc de nous éloigner de la ville, et d’entendre la perspective d’un vigneron à la retraite. Un vigneron qui a du faire face aux jugements et aux moqueries lors de sa conversion au bio, bien avant qu’il ne se démocratise, mais qui est aussi bouleversé par sa propre responsabilité durant toutes les années où il a utilisé, poussé par la société, des pesticides qui ont détruit les sols. 

Il vous racontera aussi les jardins partagés qu’il a créés dans ce petit village de l’aube où j’ai pu l’interviewer, son expérience de l’écologie dans la ruralité, où la nature l’entoure, et ses réflexions sur bien d’autres sujets. 

Ce vigneron s’appelle Gérard, et par une heureuse rencontre, j’ai pu capturé ses précieux mots au micro d’Oïkos pour ce nouvel épisode. 

Belle écoute ! 

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