EDITO DU 1ER MAI. « Je dirais qu’on n’a plus qu’à vivre »

Par Charlotte Giorgi Le 1er mai, c’est supposément notre journée. À nous, les casse-couilles. À nous les casse-couilles, qui est devenue, cette année particulièrement, la génération fatiguée, burnoutée, démotivée, perdue. Les deux (le casse-couille et la fatigue) se battent à mort depuis qu’on est entrés en politique, et ces derniers temps, on est plus à […]