Par Charlotte Heyner
Pas le temps d’écrire un chapô pour cette intro, en vrai. Pas le temps de lire la suite, vous vous arrêterez là peut-être. Pas le temps. Et c’est peut-être ça, la vraie question de notre époque. En tout cas, Charlotte a eu envie de creuser…
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Par Charlotte Giorgi
Édito de rentrée. Et l’histoire de doutes derrière un petit média associatif qui a la soif d’exister de manière inimaginable.
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Par Léa
Dans le billet du jour, Léa parle de son rapport à l’art, impossible à marchander, décorrelé de toute subsistance, et pourtant omniprésent. Elle touche la question des métiers passion, celle de vivre de ce qu’on aime sans rien pervertir, ou de vivre pour ce qu’on aime sans s’en nourrir…
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Par Jonas
Chaque mois, Jonas poursuit sa réflexion sur le monde du travail et ses implacables dérives dans sa chronique « Tout travail mérite sa laisse ». Parmi les questions que notre époque soulève, celle de la grande démission : s’autoriser à déserter, bifurquer, trouver du sens ailleurs alors que le système s’emballe dans le tourbillon du « plus plus plus ». C’est tout l’objet de la chronique du jour…
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Par Jonas
Chaque mois, Jonas poursuit sa réflexion sur le monde du travail et ses implacables dérives dans sa chronique « Tout travail mérite sa laisse ». Aujourd’hui, il poursuit sa réflexion pour « libérer le travail »… au moins dans nos espoirs 🙂
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Par Jonas
Chaque mois, Jonas poursuit sa réflexion sur le monde du travail et ses implacables dérives dans sa chronique « Tout travail mérite sa laisse ». Aujourd’hui, il pose ses questions à un spécialiste du revenu d’existence, Guillaume Mathelier.
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Par Jonas
Chaque mois, Jonas poursuit sa réflexion sur le monde du travail et ses implacables dérives dans sa chronique « Tout travail mérite sa laisse ». Aujourd’hui, il aborde la notion du « bullshit job » et ce qu’elle raconte de notre société.
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Par Charlotte Giorgi
La colère gronde, dans les faubourgs. La colère gronde, les poubelles s’accumulent. Quand on est comme moi, comme beaucoup, révolté·e par la manière abjecte dont notre démocratie décline, et par l’indifférence violente d’une partie de la société qui a le malheur de prendre les décisions, alors ce n’est pas les poubelles, qui nous empêchent d’avancer dans la rue vers autre chose.
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Motus & Langue Pendue 